Spirit of Britain

Le blogue du développement de ma Jaguar "E Type", de ma Triumph Bonneville et de ma Royal Enfield

Rallye Police Gendarmerie 2012

Contrairement à celui de Theux, le principe du rallye Police Gendarmerie est typé « rallye voiture ». De courtes liaisons, pas de véritable régularité en liaison. Excepté un problème sur la moto, il est impossible de recevoir une pénalité durant les liaisons. Lors des boucles, aucun road book n’est utilisé par les concurrents, le trajet se fait donc « de mémoire ».  La boucle d’une cinquantaine de Km était faite quatre fois et comportait quatre spéciales et un point d’assistance.

 

Différence avec les rallyes de régularité ; les reconnaissances possible pour le Police - Gendarmerie. Le « road book » est reçu le mercredi, donc deux jours possibles pour les reconnaissances.  Certains ont passé deux jours à refaire les spéciales en moto pour retenir chaque virage ! Ayant effectué seulement trois fois la boucle, et deux pour la dernière spéciale, je fus évidement très loin de connaitre le trajet et chaque virage! De nombreux virages pouvant être pris à haute vitesse, mais en spéciale je bloquais devant eux, ignorant le type de courbe qui suivait…

 

Le type de motos utilisées : plusieurs Husqvarna Nuda 900R : 105 cv pour 175 Kg à sec… Ou autre KTM Super motard ou modèle « Duke ». Soit principalement du type « super motard ».

La seule sportive fut une Yamaha R1 dont les quelques routes très dégagées permettaient des vitesses largement au dessus de 200 Km/h, là ou ma Bonneton était à 160 Km/h… D’après les pilotes des Husqvarna, celles-ci arrivaient à accrocher les 200 Km/h plus d’une fois.

 

Autre problème typique de ce rallye est le mélange autos et motos. Les autos prennent la corde des virages, donc ramènent des pierres et gravier sur la route ! Les virages remplis de gravier ou même de pierres n’étaient pas rares, au contraire !

 

Contrairement à ma Bonneville équipée de pneu classique de tourisme (dimensions particulières des roues), les motos utilisées par les concurrents étaient évidemment en qualité nettement plus typée « course » même s’ils devaient être homologués.

 

Concernant la Bonneton, il est évident qu’il me manque une quarantaine de chevaux et il reste encore une vingtaine de kg à supprimer. La suspension est bonne lorsque les routes sont excellentes, ce qui est rare, mais dès que la route était moins parfaite, la fourche est toujours beaucoup trop « sèche » aux passages de bosses ou autre aspérités de la route, bien qu’elle s’enfonce au freinage bien plus qu’avant le montage des cartouches bitubo.  

Un problème d’hydraulique ? Par contre, pour les freins, ils sont parfaits.

 

Résultat, 12ème sur 13 participants….

 

Conclusion : Il y a encore matière à améliorer autant la technique que la moto ! Mais le plaisir n’est il pas de participer ? …

 

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Suite : Voir  Album

 

Merci à Belgian-Motosport.be ainsi qu'à Jonathan Mees et Jérémy Delvaux 

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